Rapport Annuel Intégré 2023

Des défis qui redéfinissent l’immobilier et configurent la transformation de Nexity

Des défis qui redéfinissent l’immobilier et configurent la transformation de Nexity

Cette cartographie montre des tendances actuelles majeures pour le secteur de l’immobilier en France.

1 - Environnement [20.000 à 30.000 hectares sont artificialisés chaque année en France (1)]

  • Adaptation des villes au changement climatique
  • Zéro artificialisation/ densité vs étalement
  • Réglementations environnementales sur le bâti neuf et existant
  • Pression sur l’aménagement urbain
  • Transition énergétique et énergies renouvelables
  • Prise de conscience écologique

2 - Société [21,5 % de la population a 65 ans ou plus, et 17 % à moins de 15 ans au 1er janvier 2024 : la population française vieillit avec l’avancée en âge des baby-boomers (2)]

  • Pression démographique et décohabitation
  • Vieillissement de la population
  • Besoin de créer du lien social
  • Développement du travail hybride
  • Aspiration à la ville du quart d’heure

3 - Économie [25 % de perte de pouvoir d’achat entre 2022 et 2023, compensée pour moitié par la hausse des revenus des ménages (3)]

  • Inflation
  • Hausse des taux
  • Crise immobilière
  • Perte de pouvoir d’achat immobilier
  • Mal-logement et difficultés d’accès au logement

LES ATOUTS DE NEXITY POUR FAIRE FACE À CES ENJEUX

  • Savoir-faire bas carbone reconnu
  • Présence sur tout le territoire
  • Expérience d’aménageur urbain
  • Expertise en régénération urbaine
  • Partenaire privilégié des institutionnels et bailleurs sociaux
  • Leader de l’immobilier opéré

(1) Ministère de la Transition écologique.

(2) Insee – tableau de bord de l’économie française, 2024.

(3) Évolution constatée en France sur 18 mois entre mi-2022 et fin 2023 / Source BPCE – Pour un individu au revenu médian prenant un crédit selon les projections de taux (BdF) et de durée, le capital empruntable fin 2024 serait réduit a priori de 23 % par rapport à fin 2021, mais près de la moitié de cette désolvabilisation serait absorbée par la hausse nominale des revenus (sur la base du RDB moyen).